Mon parcours
J’ai toujours dessiné et aimé prendre le temps d’observer.
Plus jeune, je peignais dehors à l’aquarelle et je m’entraînais au croquis. J’ai pris quelques cours aussi. J’ai grandi près de Crozant et de Fresselines, en Creuse. Je connais donc les vallées des peintres, entre Berry et Limousin. Sur les pas des impressionnistes de l’Ecole de Crozant, je cherche, comme eux, à m’imprégner de l’instant tout en restituant mes impressions.
Maintenant, c’est le pastel tendre et poudreux, qui me passionne. Je m’exerce encore quelquefois au portrait mais c’est la campagne et la montagne qui me plaisent. J’habite l’Ariège depuis 12 ans. Peindre sur le motif, c’est être en harmonie avec la nature et mes pastels.
Je contemple un belle vue et me voici « transportée »! J’observe, je fais un croquis des valeurs et je me lance. Je travaille à rendre mon trait réaliste et, par les couleurs et la composition, c’est mon style qui s’exprime. Je travaille deux heures car la lumière change vite ! Je retourne sur place les jours suivants. Puis, à l’atelier, j’observe longtemps mon tableau, y ajoute quelques touches jusqu’au « bon » moment où je le trouve fini.
Exposer me permet de vous montrer mes tableaux. Ainsi, quelque fois, l’émotion est là et le tableau part pour une nouvelle maison. Je remercie tous ceux qui me suivent et aussi ceux depuis le début. Et les Salons de Pastel, me permettent de montrer et de partager avec d’autres artistes, cela fait évoluer mes créations.
Mes tableaux s’adressent à tout le monde. Je vous invite à y entrer. Face à une montagne, à une forêt, à des nuages, je vous souhaite de vous promener et de vous évader.
Le processus créatif : Croquis monochrome – croquis coloré – croquis de départ du pastel
Lors des Salons de Pastel, plusieurs en France, je propose des démonstrations
ici, Salon de Pastel en Provence à Graveson (13), ma première démo le 19/02/22, paysage « Automne orageux »
Un jour, face à mes tableaux, étonnés et touchés vous avez dit :
« Incroyable, vous peignez le vent ! »
« Votre rivière on l’entend couler ! »